Fundamental Stalemate Positions, III (Jean Beshera) / Réimprimé de Graustark #304, 19 janvier 1974.
Il s’agit de positions d’impasse inhabituelles pour les puissances de la sphère orientale face à l’Occident alors qu’il n’est pas nécessaire de conserver toute l’Italie.
L'importance des situations d'impasse, outre l'évidence, réside dans la capacité d'un pays à survivre. Dans certains cas, l'Allemagne peut survivre à Berlin, mais les difficultés de la Russie s'aggravent après la perte de Sev. L'Italie, l'Allemagne et la Russie, prises en marge de la bataille, peuvent négocier avec les deux camps, car leurs décisions peuvent déterminer l'issue de la partie.
Un bon jeu exige de connaître les situations d'impasse. Et un des défauts de la diplomatie est de savoir éviter les pièges de la victoire. Mais plaignez le joueur qui doit gagner pour s'amuser. Chaque position offre des défis, des défis que tout le monde apprécie.
Note de Mark Berch, Diplomacy Digest 10-11, avril-mai 1978. Une modification significative de ma position est apparue dans une lettre de Karl Pettis publiée dans Erehwon #65, le 1er mars 1972
Rod Walker (rédacteur en chef d' Erehwon ) ajoutait : « Puisqu'il s'agit d'un plan d'expansion de l'une des puissances de l'Est, l'Autriche ou la Turquie, l'unité en Prusse est presque certainement une armée. » Cependant, dans le Diplomacy Digest 10-11 (avril-mai 1978), Mark Berch écrit : « Je ne suis pas d'accord. La Russie pourrait facilement atteindre cette position, ayant obtenu de bons résultats dans le Sud, progressé en Allemagne mais été submergée en Scandinavie, comme cela arrive si souvent à la Russie dans ce pays. En fait, cette Prusse pourrait même être allemande ! Des choses plus étranges se sont produites. »
Source : http://ukdp.diplomatic-pouch.com/pouch/Online/StalematesAtoY/staleIII.htm